Score Finances – Quelques conseils financiers

L’école néoclassique représente le « mainstream » c’est-à-dire le corpus enseigné dans les grandes universités américaines et d’autres comme la London School of Economics ou, semble-t-il, en France l’école d’économie de Paris et l’école d’économie de Toulouse et mis en oeuvre dans les grandes institutions économiques mondiales (banques centrales, FMI, Banque mondiale, OCDE etc.)

Si le premier à utiliser le mot néo-classique fut Thorstein Veblen en 1900 pour désigner l’économie marshallienne, son usage s’est imposé à travers la redécouverte de Walras par Hicks, un article de George Stigler de 1941 et surtout par l’emploi de ce terme par Samuelson dans son manuel d’économie qui était alors le plus répandu au monde. Les historiens de la pensée économique se sont demandé pourquoi le courant keynésien majeur avait adopté cette appellation. Plusieurs raisons sont avancées : recourir à des techniques d’expertise objectives permettait de satisfaire les patrons des universités qui recherchaient des économistes politiquement corrects, par ailleurs, le recours à des techniques sophistiquées faisaient que le débat était réservé aux insiders et de fait les débats économiques des années cinquante-soixante-technique tel que la controverse des deux Cambridge (en clair une opposition entre néo-keynésien et post-keynésien) est relativement ésotérique.

À partir des années 1970 et de travaux de Kenneth Arrow sur l’équilibre général, le néoclassicisme se fait plus libéral classique, d’autant que l’école de Chicago attaque les néo-keynésiens sur trois points : les changes fixes, la courbe de Phillips et l’intérêt de politiques budgétaires actives. Au contraire, ils vont montrer l’intérêt du contrôle de la masse monétaire pour limiter l’inflation.

Source Wikipédia

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